• Une place à coté de ton coeur

    Là-bas, je pris une place pour être médecin dans l’hôpital principale. Seulement ma vie de couple ne fut pas si idyllique. Quelques mois après notre installation, il tomba sévèrement malade. Le mal qui le rongeait était incurable. J'ai passez des nuit blanche à essayer d’alléger ses souffrance et à nous accorder un plus de temps. Mais rien n'y fait, en quelques semaine, il quitta définitivement la maison pour une chambre à l’hôpital. Pendant un ans, j'ai vécus entre mon boulot et mon appartement vide. Dormant la plus part de mes nuits dans sa chambre à ses cotés. Il perdu énormément de poids, la lumière de la vis s’éteigne rapidement dans ses yeux. La dégénérescence mentale commença six mois après sa première crise cardiaque. D’abord, ce n'était que des simples oublie de mot, puis ça devenus plus grave. Il s'oublier ou perdait la notion du temps et il finis par bientôt par ne plus savoir qui j'étais.

     

    Je n'avais jamais était aussi triste de mon existence. J'étais à ses cotés, je l'aimais encore et lui ne savais pas. Mon existante fut comparé à celle des d'objets qui ornée sa chambre. Je me fondait dans le décors de son esprit. Les jours régressais quand je sentis le mal s’empare de son cœur. Nous n'avions plus le temps. On ne marchait plus cote à coté. Mes larmes perlaient sur mon visage quand j'osais timidement poser une dernière fois mes lèvres sur les siennes :

     

    ''Pardonne moi...''

     

    Je m'éloignais avec le cœur lourd. Fermant la porte de sa chambre pour la toute dernière fois. Je ne remis jamais les pieds dans cette endroit. Pour moi, ça sentait la mort. Dans les ombres j'imaginais d'horriblement mains au doigt crochus étranglé l’âme de mon amant. Je ne pouvais plus le supporter. Je n'étais pas assez fort pour le voir se détruire sous mes yeux. Je n'étais plus rien pour lui, juste une personne comme tant d'autre qui venait le soigner. J'étais certes lâche pour les autres de l'abandonner à ses derniers instant. Mais voir ses yeux se poser sur moi et comprendre qu'il ne me voyais pas me saigner le cœur. Deux jour, plus tard, il mourrait...

     

    J'ai toujours au fond de moi l’amertume de notre séparation... 


  • Commentaires

    1
    Dimanche 11 Janvier 2015 à 10:32

    Arrrrgh...Horriblement triste... (Chiaki-sama fait une dépression pour nous faire pleurer?)

    Mais, un magnifique écrit!  ça fait un changement, c'est bien d'écrire un peu de tout. Félicitation encore, encore des progrès je trouve! :D

    Vivement une nouvelle histoire! Bonne continuation Chiaki-sama!

    2
    Dimanche 11 Janvier 2015 à 11:14

    Non je ne fais pas de dépression XD et je ne veux pas non plus vous faire pleuré. Seulement j'étais inspiré pour quelque choses comme ça... (tout comme la prochaine histoire devrait être un truc assez hard)

    xD merci ma petite InoueAlice *patpatte* 

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