• Deux corps dans un lit, légèrement humidifié par le plaisir de la chaire. Deux corps sévèrement entrelacer ne voulant plus se quitter connecter l'un contre l'autre sous des cris de jouissance sans nom, le plaisir et l'envie était les choses que les hommes fournissait s'en se rendre compte. Remplissant leurs balances du luxe effacent sans se rendre compte leurs démons qui se nourrissait d'eux comme de parasite. Leurs natures à elles seules horrifiée les personnes qui pouvait simplement imaginer leurs existences. Ce fut dans se cadre que je recommençais une nouvelle vie, sans parents pour me dire quoi faire et sans amant, on me lâcher dans la jungle en ayant pour seul consigne de me trouver du gibier chaque soir. Assis sur le sommet d'une église, admirant la mer paisible se faire caresser par le vent. Je chantonnais une légère mélodie en admirant le ciel étoilée parmi tout se ciel, sous cette lune au allure princière admiré au même moment l'âme que je pourchasser ardemment, celle que je capturais affin de pouvoir lentement possédé chaque partie de son être. Me relevant en souriant, je me jetais littéralement dans le vide océan, le vent fouetté mes habite et mon doux visage nous repoussant affin qu'on n'approche pas sa tendre mer. Le bruit des voitures rapidement oublier pour se concentré sur la respirations cadencé de mon cœur qui allait exploser à l'approche du sol. Me déposant comme une fleur le vent ennemis s'envoler à travers les arbres chantonnant à son approche, me laissant parmi le vaste monde que sans m'en rendre compte j’espérai depuis le jour de ma naissance. Le bruit d'un moteur me fit rouvrir les yeux, mes pieds sur la route en face des voitures affolaient près à partir au quart de tours pour  détruire tout ce qui se trouverais sur leurs passage, moi par la même occasion.

    Je fermer les yeux, mettant mes mains pour me protéger sans réellement le faire, ses engins ne pouvait pas être stopper par des simples muscle encore moins, s'il s'agissait des miens. Les larmes aux yeux, je sentais déjà le poids de la voiture m'écraser le corps en lambeau, les complications que ça allait engendré pour ma reconnaissance, car les humains ne me connaisses pas dans leurs états civique. Je voyais déjà mon grande père m'enquiquiner pendant de longues heures en disant toujours que j'aurais du l'écouter. Pleurnichant à ses misérables secondes qui continuaient de s’écoule sous le rythme palpitant du moteur qui ronronnait excité à l'idée de charcuté un simple enfant. Des bruits horribles m’arrachait les oreilles voyant les feux claire partir loin derrière moi traçant leurs routes en lignes droite comme les étoiles filantes. Le contre jour crée par les lampadaire m’empêche de voir le visage du bourreaux qui allait m'emporter sous ses roues. Je suée de toute mon corps en entendant le bruit sur aigus des freins paniquer. Mes jambes me lâchèrent au même moment, tremblant de toute mon corps la notions de survie n’existai pas chez moi. Aucun geste de défense ni même de saute de la dernière chance affin de pouvoir me sauvé. Le bruit des passant ronronnais  de petit cris sur aigus,, sortant enfin de leurs bulles pour remarquer que quelqu'un était en danger, certain passer rapidement leurs chemins terrifié à l'idée d'avoir un quelconque rapport avec un accident, d'autre curieux se rapprocher pour agir en spectateur sans pour autant agir.

    Je relevais le visage vers la lune, apercevant des démons venue loin pour retenir la voiture, ma seule réaction fut de soupiré, mon grand père ne me fessait réellement pas confiance sinon il n'aurait pas payer tout ses démons pour me surprotéger. L'impression d'être un petit objet à ne laisser sortir qu'avec une douzaine de garde. La porte s’entrouvrit laissant une personne en sortie le plus calmement possible. Encore  paralysé par la peur, la dame lune reflété cette silhouette masculine au airs prétentieuse, regardant en premier ses chaussures de marques italienne, sans le moindre poussière dessus nettoyer comme un précieux diamant elle semblait être faite sur mesure. Des chaussettes noirs remontant jusqu'à la bordure d'un pantalons sobre mais classe au couloirs de la nuit, il avait un bassin plutôt large et une taille  imposante vus que je rester un long moment poser sur la partie de son bas ventre. Continuant mon analyse de policier en scrutant les moindres détailles. Une chemise écarlate m'aveugla un moment, elle était repassé ainsi que légèrement entrouverte au niveau de sa nuque. Les habits que portaient l'étrange personne se retrouver lier entre le classe et la sobriété. Un charme particulier mais qui ne manqué pas de rajouté un charme fou à cette silhouette. Me laissant un peu plus sur le cul que je ne l'étais déjà frigorifier par le goudron glacée.

    S'approchant de moi à pas tranquille, sa mains se tendus après m'avoir longuement regarder sans me parler ou même sans s'excuser. Je l'attraper, m'en aidant pour me relevais. Poussait par l'élan que sa force porter sur ma petite mains mon poids chuta en avant non maintenu part mes pieds encore engourdis, son torse fut chose qui me maintenus droit, sous les yeux interloqués de ses quelques passant voyant tard dans les nuit, les passants qui attendaient une réaction de la part d'une ou de l'autre parties, mais rien, ma langue rester dans sa poche et la sienne ne semblait pas vouloir sortir. M’entraînant délicatement vers la deuxième porte de sa voiture, l'ouvrant et m'installant dedans en supportant mon poids qui retombais sur le siège. Vérifiant que tout allait bien dans un calme terrifiant, un calme lourd et pesant ressemblant à celui des cimetières les soires de pleines lune comme celui-ci. Je retrouvais le courage de levais le visage pour admiré ses trait fins qui m'observer tendrement. Il avait de magnifique yeux bleu cristallin, on y voyais la mer s'y reflété dans ses eau claire, les vagues des tourments semblait emporter le mal-être de mon corps lourd. Il avait un regard si perçant qu'on aurait pus croire qui lisait en nous d'une manière écrasante. Il me fit signe de bien m'installer dans la voiture, refermant la porte pour passer de l'autre coté.

    S’installent au volant, il me jeta un regarde un peu froid laissant sa main réenclencher le moteur dépassant la première vitesse. Je me fessait percer par le ronronnement de la voiture qui se dirigeait vers l’hôpital dans le silence aussi total que macabre. Jettent quelque fois des regarde au conducteur en manque de réaction. Les humains avait de drôle de coutume mais je ne savais pas que parmi elle se trouvait renversais les jeunes inconnus. Me tenant les épaules dans de petit spam de froid, je chercher la raison qui me poussaient à ne pas demander l'’arrêt de la voiture. Me rendant bien compte que j'étais simplement en état de choc se fut un soupire court qui fit réagir mon conducteur qui se dénoua la langue :

    -Tu ne devrais pas te jetais sous les roues !
    -Excuser moi ! Monsieur
    -Aaron ! Pas monsieur !
    -Aaron ?

    Je me mettaient à rire en vus de l’hôpital, sortant de la voiture comme un grand vite suivis du conducteur. Il me regardait curieux de savoir pourquoi j'avais rigoler comme un fou. Lui souriant en marchant j'attendis d'entré dans l'établissement pour répondre à son interrogation qui planer sur son visage :

    - Je trouve ça jolie, moi c'est Saen ! Monsieur le renverser

    Et l'équipe médical pris soin de moi ...


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  • Comme ce fait-il que ses humains soit si têtue quand il s'agit de soigner, une véritable prison qui m’empêcher de respirais comme je le souhaiter. Deux bonnes femmes en jupon refusaient de me lâcher alors que je me débâtait comme un fou pour évité leurs mains baladeuse de me touché. Ses manières de toujours tout touchée était propres aux hommes, ses primates écœurant me dégoûtée avec leurs manière d'homme des cavernes. Mon corps passé encore une de ses étrange visite dans la boite à sardine qui nommé comme étant un scanner IRM, j’espérai grandement que sa soit la dernière, je commençais à m’ennuyer. Tout ce blanc qui m'entourais, l’odeur infecte des désinfectants pour purifié les lieux des maladies contagieuse empêchant les humains en bonne santé de respirée ou les démons dans mon cas. Poser dans une chambre en attendant mes résultat, j’observe les dix autres patients enfermer avec moi dans cette cage à oiseaux. Il était tout aussi pitoyable que de vulgaire crapaud dans un vivarium, si bien que leurs compagnie me donner envie de vomir.

    Me relevant fatiguer, c'est lieux censé représenté le repos m'épuiser bien plus que n'importe quels lieux. Même les enfers aurait pu ressembler au paradis comparait à cette horrible endroit. Me préparent à sortir, j'eu le déplaisir de voir que ses sots d'humain avait fait des recherches sur moi. Ne trouvant ni acte de naissance ni présence de vie, il avait même alerter la police. Les sirènes au loin assourdissais les bruits des voitures et les engueulade des conducteurs. Le silence de ce petit hôpital devenait vite angoissant dans la solitude d'un instant. Accueillant un des médecins dans notre chambre commune. Laissant son regard plongée lentement dans le miens, j'utilisais mes pouvoirs pour hypnotiser. Le laissant complètement dans le patté, je profité que la porte soit grande ouverte pour sortir l’entraînant avec moi soit disant pour d'autre examen. Satisfait de moi même, ce brave humain allait résoudre plusieurs de mes problèmes, d’abord, il m'aidais à sortir de cette ridicule petit chambre qui pué la transpiration. Et allait me permettre de me crée une identité ainsi qu'une famille, ce qui ne serait pas de trop en sachant que j'étais un humain tout à fait comme les autres, du moins en apparence.

    Un grand sourire sur mes lèvres, j'allais jusqu'à l'administration ou mon docteur pris soin de me crée un nom et une famille. Tout ce qu'il me fallait pour vivre sur cette terre souiller. Prenant une carte de la ville pour pouvoir me repéré, je laisser là mon pantin stupide. M'éloignant vers la sortie, je pensais être libre de rejoindre un endroit où on loge des chambres. Une bonne nuit de sommeil en bonne compagnie ne me dérangerais pas, si seulement je me trouvais un bon pigeon qui m'offrirais la chambre. Après tout vus mon corps ça ne devrait pas être bien compliquer. Assis sur un mur en pierre pas encore fini, j'attendais de trouver un homme ou une femme assez bien bâties pour pouvoir l'inviter à ce joindre à moi. Malheureusement comme terrain de chasse on fessait bien mieux qu'un parking d'hôpital à 3 heurs du matin. Fermant les yeux déprimer, je pensais m'endormir à la belle étoiles avec pour seule couverture la voûte céleste. Les yeux clos, je me fessais percer par la cacophonies de la route quand tout d'un coup, surgissant de nul part le bruit sur aigus d'un frein s'arrêta juste devant moi.

    Surpris, je me relevais horrifier par cette façon peu commune d'aborder les gens. La voiture était un magnifique engin, tout blanche comme le poile d'un étalons. Les grain en acier tremper, la couleurs claire de cette perler nacré éblouissait mes yeux pour la seconde fois aujourd'hui. En effet, il me fut facile de reconnaître cette voiture qui avait faillit me tuer quelques heures plus tôt dans la nuit.La porte du conducteur s'ouvra pour laisser place à la silhouette angélique d'Aaron qui cette fois-ci était loin d'être surpris de trouver quelqu'un sous ses roue. Furieux, mes joues pris le feu alors que ma voie essayaient de gronder comme le tonnerre pour remettre cette humain de malheurs à sa place. Sa manie de toujours vouloirs m’aplatir avec son bolide commençait à m'agacer, deux fois c'était déjà deux de trop surtout quand ses sur le mêmes inconnus. Après avoir jurée comme un vieux loup de mer pendant de longues minutes, je remarquer qu'il n'avait pas bouger et supporter chaque minutes de mon sermon jusqu'à que je me taise enfin.

    - Aller monte, je te ramène chez toi !

    Soupirant en se frottant l'arrière du crâne, il semblait fatiguer de toute cette histoire. Rentrant dans sa voiture sans attendre ma réponse, il claqua même la porte pour me prouver sa mauvaise humeur. Je comptait m'en aller en le laissant planté là comme un arbuste quand il ouvris la porte coté passage esquissant un faible sourire. Sa voie incitant fini par me faire craquer, tenant la porte pour m'y installer, je continuais à lui faire la leçon pendant un long moment. Finissant par bouder de mon coté, les yeux plongeait dans le vide de ma fenêtre. L’atmosphère était lourde, silencieuse comme le néant total, aucune de nous ne bouger à part pour les rares réglages.

    Je me retrouvais dans une salle positon, vus que je n'avais aucun lieux pour rentré et à chaque question sur le lieux de ma destinations me fessait taire dans le plus profond des silences. Si bien qu'un moment, je crus qu'il allait sauvagement m’abandonner sur le bas coté, épuisé de devoir se montré aimable avec un garçon aussi obstinais. Notre course folle, nous emmena même vers les bord de la mer. L'odeur de l'iode salé parfumant ses lieux me détendais légèrement, apaisant les tourment de mon cœurs qui sagement admirais se paysage gracieux. Les panier longée tout le long de la cote comme semer par le petit Poucet. De petits amat de sable ce retrouvais de temps à autre sur certain rocher formant de mini cendrier pour les fumeurs qui les remplissais de leurs mégot. Ce paysage si charmeurs me fessait tomber dans une étrange mélancolies. Bien installer dans le fauteuil en cuire, le sommeille me gagner étrangement, le percement régulier de la voiture sur la route et le ronronnement discret du moteur. Je comprenais maintenant pourquoi tout les enfants s'endormaient dedans sans s'en rendre compte.

    -J'ai nul part où aller ! Finissais-je part avouer, ma famille ne vis plus ici depuis un moment, je suis revenus seul pour mes études et je n'ai pas encore trouver d'appartement ni d'hôtel.

    Mon histoire plutôt bien rotais semblait le laisser sceptique, me regardant avec attention comme pour chercher la lueur du mensonge dans mes yeux. Laissant un doux sourire sur mes lèvres, il fit mine de comprendre tout en tournant a vive allure, me donnant l'envie de vomir en mettant la vitesse supérieure. Il semblait avoir lui même choisit le terminus de ma destinations. Arrivant devant l'enseigne d'un grand bâtiment, on se trouvais dans les quartier riches de la villes, très prisé par la plus part des jeunes fortunée. Pour dire la vérité, je ne saurait pas comme j'aurais atterrit dans ce lieux étrange, j'avais certainement du m'endormir au beau milieux du chemins. Traîné à bout de bras jusqu'à l’ascenseur, je ne pouvais ni m'enfuir, ni m'opposer à sa volonté.

    Toujours à moitie endormis, je me retrouver contre le mur froid de la cage de métal, maintenus par l'écrivain en herbe plus que satisfait. Le tintement sourd de l'alarmes signalent la fin de la course me tira de mes rêverie, relevant le visage en continuant de me faire traîné dans l'appartement. Ouvrant sa porte, il m'invita à rentré comme un vieux amis ayant un peu trop bus. Étrangement, je n'y prêtait pas trop attention, rentrant comme si j'étais chez moi je me poser sur le premier endroit confortable pour finir de me reposer . Prenant le plus gros pour le serré conte moi, je ne pensais pas qu'il me laisserais tranquille mais en m’arrachant le coussin dans mes jérémiade insoutenable, il m'invita à le rejoindre dans son lit. Fatiguer et épuise, je ne comprenais rien à ce qu'il me disait, je n'avais qu'une envie c'est qu'il me foute la paix pour dormir. Pourtant je ne censé de répondre à son jeu du chat et de la sourit, chaque geste qu'il me fessait, je lui rendais, chaque paroles et chaque envie si bien que je finissais par le poussait sur le lit pour l'embrasser fougueusement, ses yeux nager dans une vagues d'incompréhension, mon sourire se dessiné contre ses lèvres finie.

    Qu'est-ce qui m'arrivais ?

    Avoir ainsi envie d'un humain alors que mon corps semblait si engourdis. Ça ne me semblait pas réelle et d’épuisement, je m’écrouler à ses coté. 


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  • Endormis comme un nouveau née dans ce grand lit. Les draps étaient légèrement humide souiller par une jouissance infinie. A moitié dénudé, je serrais un gros coussin contre moi, bavant innocemment dessus sans le savoir. La couette bien mise sur mes hanches, mon corps dormait épuiser alors que la lumière du réveillé me tiré des bras de Morphée. Tirant une tête de six pied de long en étirant mes bras vers le ciel. Mon regard était aussi embrumer que mes pensés et mon corps réagissait seul sans que je puise le dirigée. Il semblait mieux savoir où aller que moi-même, souriant maladroitement en me relevant. Mes mains se perdait dans mes cheveux, caressant ma tignasse pour la replacer un minimum. Entrant dans la pièce de séjours, j'étais aveuglée par la lueur du jours. Le soleil étant haut, la journée avait déjà bien démarrer. Partant à pas rapide pour la cuisine, je vus un homme de dos. Il était en train de cuisinée un magnifique petit-déjeuné à la japonaise. Tout les arômes se dégager dans les aires. Mes narines en capturée le plus possible pour savouré se délicieux parfum. M'approchant avec mon petit sourire, je sautais au cou de mon bel inconnus. Les épaules large et robuste, il ne portais qu'un vieux pantalons déchiré sous son beau tablier. Le bout de tissus épousé amoureusement les courbes de mon cuisiné en chef. 

    Il riait d'une vois tendre en se retournant vers moi. Je n'étais pas surpris de retrouver mon adorable chauffard. Reposant la poêle sur le feu, il entourait un de ses bras autours de ma nuque pour m’attirer près de son visage. Le relevant grâce à ses doigts fin qui coulissais comme une brise de vent. M'embrassant avec passion en me souhaitant le bonjours. Mon cœur tambourina comme un grand virtuose. Me jouant le plus grand morceau de notre temps, je me blottissais contre lui jusqu'à le gèné complètement pour cuisiner. Souriant comme un idiot en l’appelant par son prénom, je caressais son torse à travers le tablier pour savouré cet étrange réveil. M'embrassant encore et encore, il fini par couper le feu pour se consacrée complètement à moi. Passant ses mains sur mes hanches, ses bras vigoureux me portait comme si je ne pesais riens. Son visage impassible laisser son regard luire de tout ses sentiments à mon égard. Sur ses rivages lumineux dans lesquels mon visage se reflété comme le plus précieux des miroirs. Me portant jusqu'au siège où il me déposer. J’eus droit à une nouvelle marque d'affection, un léger baiser sur le front pour me dire de patienté un petit instant. Mon sourire débile ne pu disparaître de mes lèvres en sentant encore la chaleurs de son geste se rependre lentement à travers ma peau.

    Le voyant revenir les bras lourdement charge de ses bons petits plats. Il les avaient tous préparé avec patient pour moi, encore un geste surprenant mais tellement adorable. Le remercier en prenant un morceau d’omelette avec mes baguette. Lui tendant pour qu'il coûte, mon pauvre cuisiné se laissait maladroitement un morceau d’œuf sur le coté de la joue. Maladresse que je m'empressais de réparé. Allant chercher se petit bout, je lécher sa joue comme un petit chat. Lui embrassant aussi la joue en posant de nouveau mes fesses sur la chaise. Je n'avais pas tellement faim, du moins pas faim de la même manière. Dévorant rapidement mon petit déjeuné pour ne pas gâcher se précieux temps à la préparé. J'allais me poser sur ses jambes comme les enfants de cinq ans. L'embrassant pour le remercier de tout ce qu'il avait fait, je le provoquer en blottissant mon bassin sur son torse. Frottant doucement pour lui faire remarquer un petit accident de parcoure qui le fit bien rire. Rougissant de honte en le boudant du regard, il m'embrassait langoureusement. Laissant nos langues jouer entre elles en s'allongeant lentement sur la table. Toute la vaisselle avait disparu d'un seul coup, chose extraordinaire, pour nous laisser la place. Son corps allonger sur le miens, il me soufflait tendrement à l'oreille :

    ''J'en ai envie ! Passant sa main sous mon haut, il caressait ma poitrine avec la legeter d'une plume, en plus il a fallut que tu mange....''

    ''Héhé, mais maintenant j'ai plein d'énergie à revendre et je vais pouvoirs bien m'occuper de toi, mon adorable cuisiner''

    ''Bien entendu, faut que je me face payer pour tout mes efforts''

    ''Mais je n'ai pas d'argent sur moi...''

    ''Alors paies moi... en nature...''

    Riant de bon cœur, il me fit taire en m'embrassant à nouveau. Caressant mon corps avec sa main baladeuse. Elle ne trouvait pas de point d’amarrage, d'un objet à agripper pour se concentré dessus. Chaque fois, elle passait de ma poitrine à mes hanches et après elle s'enfuyaient pour caresser mes fesses. Rougissant ou soupirant d'aise en fonction des zones qu'il toucher. Mon corps ne répondait plus à mes commande. Mais le petit jeu de me frôlait à peine ne m'amuser guère, je ne sentais que la moitie de son corps à chaque fois. Ronchonnant en prenant une de ses mains pour l'embrassaient, je serrais ses doigts entres les miens. Le maintenant fermement en réclament un peu plus t’attentions de sa part. L'air miséricordieux m'allait merveille,surtout quand il s'agissait de faire céder un homme à mes charmes. Me montrant plus dévergondé que jamais, j'osais passer mes jambes autours de sa taille pour caressais ses hanches et tatter ses fesses rebondis avec plaisir. Le poussant à agir d'une manière plus extravagante, j'arrivais à pousser Aaron dans ses actes les plus perverties. Le voyant rougir comme une énorme tomate, je l'embrassais amoureusement en laissant mes mains ce perdre derrière son dos. Sa langue venu me chatouiller en descendant sur ma nuque, laissant des marques de suçon. C'est marques volatiles apportaient pas de doux baisser papillons me firent rougir à mon tours.

    Ma poitrine était écraser par le corps d'Aaron. J'en était sur, à force d'être blottie l'un contre l'autre, il pouvait entendre mon cœur qui perdait les pétales. A force de m'embrasser, de me sucer de toute part, je finissais pas ne plus rien comprendre. Sentant sa langue caresser ma poitrine, mes tétons se faisait mal mener par cette paire de dent qui me pincé amoureusement. Une telle passion étai insupportable pour un seul homme. Partant mes main dans ses cheveux, je le laisse me toucher comme il l'entendait sentant enfin que sa main bouger de mon sein pour partir le long de mon ventre. Elle caressait le bas de mon ventre en cherchant toujours à aller plus loin vers le bas. Ses lèvres ne me frôlèrent que pour me faire oublier ce que sa main était en train de me faire subir. L'embrassant tendrement en sentant sa langue se glissait près de la mienne. Son visage entre mes mains pour le serré contre moi. Je perdais le nord quand mon vêtement glissait lentement sur mes hanche. Maintenant, j'étais nu comme un ver et à la merci d'un homme inconnus. Dire que hier encore j'étais dans mon monde à moi. Les démons, les âmes errante, la cruauté des enfers me plaisait bien. Malheureusement, je ne croyais et ne pensés pas qu'un étrange inconnus serait sur ma route. Et que le lendemain même, je me mette à coucher avec lui dans son appartement.

    Le destin est souvent plus farceur que je ne le crois. Sa main pris entre ses doigts fin mon phallus tendu, le serrant délicatement pour commencer à faire de longue caresse. En avant en arrière, fermant de temps en temps sa main dessus de manière sec et rapide. Ma voie dérailler dans de timide gémissement à force de céder à ses actions. Sentant sa langue me caresser la nuque, sa main me fit trembler. Lui demandant d'arrêter avant de venir dans sa main, il refuser de me laisser tranquille. Sa voie me soufflé des mots doux pour me rassuré et en très peu de temps, je venais dans sa main. Riant de moi, je le regardais mort de honte et un peu boudeur. Il n'arrêtait pas de me prendre pour un enfant adorable. Je le voyais dans ses yeux plein de tendresse qu'il se moquait de moi sans rien me dire. Il écartait doucement mes jambes, j'étais peu rassuré vu qu'en humain ça allait être ma première fois. Embrassant mon amant, mes mains se bloquaient derrière sa nuque. Je ne bougeais plus, je ne voulais plus bougeais d'ailleurs. Ses bras encadrés ma tête pour me frôler délicatement les cheveux. Préparant mes jambes, sa main se glissa sous mes fesses. Ses doigts trempés de ma semence me pénétré sans vergogne. Ma voie gémissais de douleurs et de plaisir quand il rentrait son doigt profondément en moi. C'était une sensation très étrange mais, agréable surtout quand il trouva un point très sensible de ma personne.

    ''Tu deviens très étroit mon petit Saen, j'ai hâte d'être en toi mon adorable démon''

    Relevant un sourcil, je ne me rappelais pas lui avoir avouer être un être des enfers. Je me demander bien comment il peut être au courant.

    ''Alors viens ! répondis-je, je la veux entièrement en moi''

    Sans me répond il m'embrassait fougueusement. Caressant mes hanches, il monté mon bassin près de son pénis. Me pénétrant sans retenus en soupirant d'aise. Je criais de douleurs en étant ainsi sauvagement pénétré. Lui hurlant de ne pas bouger, je serrais fort ses bras avec mes pauvres mains. Soufflant comme si j'avais courus le plus grand des marathons. Mon cœur s’emballait une nouvelle fois aussi fort. Bien enfoncée, mon bassin me faisait atrocement souffrir, ce corps était encore tout faible, sans aucune expérience ce qui me déranger. Scellant mes lèvres au sienne, je le sentais se mouvoir à l'intérieure, commençant enfin à faire de long vas et viens. Ce fut des soupires qu'il m'arracher de plaisir, puis des gémissement et enfin, quand je le sentais se raidir comme un roc en moi, je me mis à jouir d'un plaisir immense. Je ne comptait plus le nombreux de fois qu'on la fait, dans tout les différentes positions, sans préparation ou avec. Mon corps était noyer dans la mer de jouissance absolue. Si bien que mon corps s'en retrouvais tout salie à la fin de nos ébat. Blottis contre sa poitrine, mes fesses me faisait un mal de chien. Ma tête était vide comme le néant, perdu dans l'océan. Mon corps était marquer par mille et une marque de baiser qu'Aaron m'offrait avec bonheur. Il serrait dans ses bras comme une perle de sa vie. Ses lèvres continuaient de se poser sur mon front encore et encore.

    Remarquant mon état étrangement passifs, mon beau chevalier me pris dans ses bras comme une princesse. Me portant sans rechigner dans la salle de bain, habituellement, on refuser de céder à ce caprice égoïste. Ça m'étonner grandement qu'il le fasse sans que je lui demande et surtout sans ce plaindre. Mais j'étais ravie, caressant son torse viril en me laissant déposer dans la baignoire. L'eau était à température ambiante et pleine de bulle de savon, exactement comme je l'aimais. Riant de bon cœur en embrassant mon merveilleux amant. Je sentais pourtant la froideur dans ses actions, il me regardais plus avec cette amour fou qui pétillais dans ses yeux. Il n'y avait plus que se visage inexpressif, me regardant comme si j'étais un parfait inconnue à ses yeux. Lui souriant pourtant de bonne humeur, ma voie ne sortais plus. Devenu muet, je m'accrochais à lui en paniquant. Essayent de lui faire comprendre mais rien, il ne bougeait plus. Le monde semblait couper du temps et de la réalité. Essayant de me relever de cette baignoire glacé, sa main me maintenais fermement le poignet. Criant sans un son, je le voyais articuler quelques paroles qui résonnèrent longtemps dans mon esprit.

    ''Saen... Saennnnn''

    Hurlant de frayeur, je me relevais d'un pont. Criant comme un fou furieux en demandant ce qui était en train de se passer. Je me pris un grand verre d'eau dans la tête pour me ramener a la réalité. Aaron poser a mes cotés soupirait en me regardant comme s'il avait affaire au plus grand abrutis de la planète. Je le regardais un moment sans comprendre, puis j'examinais tout ce qui nous entourait. Je me retrouvais dans des draps propres avec mes vêtements d'hier soir.

    ''Tu t'es enfin réveille ! Va te sécher et rejoins moi dans le salon''

    Sans rien dire, il me laissa seul dans cette grande chambre vide et sans compagnie. Je me prenais un coussin pour le serrer fort contre moi en soupirant. Regardant autours de moi, rien ne semblait bouger à par une petit bestiole bien connus. La fusillant du regard en lui faisant signe de sortir de sa cachet. C'était une petite fille en apparence, elle devait avoir pas plus de huit ans. Sortant avec ses petites ailes et ses petites cornes. Elle était adorablement mignonne, trop mignonne, pour être innocente. S'approchant de moi avec son petit air innocent, elle commençait à marmonner :

    ''Avait vous fait de beau rêve mon seigneur ?Puis-je vous demander qui était votre partenaire ? Le Maître ? Ou cet étrange inconnu qui essayais de vous rassuré lors de votre rêve ? ''

    '' Vagin stupide, la prochaine fois que tu crée un rêve fait en sorte qu'il soit magnifique jusqu'à la fin, casse toi sinon je te tue...'' ronchonnais-je

    M'allongeant en ronchonnant, elle riait un peu avant de disparaître. Me retrouvant enfin seul dans cette grande pièce vide. Débarrassait de se nuisible et de l'homme qui occuper mes pensés. Elle avait raison sur un point, je n'avais pas du tout pensés à l'autre mais, simplement à cet humain. Serrant le coussin contre moi, je fermer les yeux en ronchonnant. Ce songe stupide m'avais donner encore plus sommeil...


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  • Sortant du lit au bout de deux heurs. J'avais arrêté de bouder depuis plus d'une heurs mais mon corps n'avait pas encore trouver le courage de se relever. Difficilement, mes muscles arrivaient à me redresser. Le draps tombèrent sur le sol quand je commençais mes premiers pas hors du lit. Je m'avançais calmement vers le salon. Même si mon corps était très fatiguer, il arrivait à m'emmener au moins jusqu'au canapé. Je salué mon étrange humain du bout des doigts avant de lui passer devant sans le regardais. Mes joues me trahissais en ce teintant d'une si vive couleurs. Je détestais cette idiote, maintenant je ne pouvais plus agir normalement sans avoir l'impression qui lisais en moi comme dans un livre ouvert. Imaginant qu'il pouvait voire tout ce qui c'était passer dans mes songes. Soupirant, je prenais un peu mes aises et sa couverture pour me cachais dessous. Horrible vie que la mienne quand on y pense. Je voulais plus bouger, plus parler et même plus manger. J'étais fatiguer par toute ses bêtises, d'ailleurs je l'ai comprenais même pas.

    Bien sur, cet idiot ne me laissa pas trier mes penses tranquillement. Je fus obliger de me relever pour le saluer. Il me regardait de manière assez sévère ce qui me fit bien rire intérieurement. Je n'avais pas peur des être humains, surtout pas des hommes. Ils était plus facile à manipuler que les femmes. Surtout, à cause de leurs comportements jaloux et ultra égoiste mais, d'une certaine manière, on se ressemblait assez. Je m'excuser tout de même pour mon comportement et faisait la paix avant qu'il ne s'énerve vraiment. Je voulais pas vraiment m'avouer vaincu. Cet humain était le seul à avoir de l'interêt pour moi. Surtout que mes pouvoir ne marchais pas sur cette personne. C'était trop étrange pour que je le perde, de plus il risquait d'être une menace pour moi. Mes excuse n'eu pas l'effet espéré, il fut encore plus en colère. Devenant tout rouge, il me pris l'oreille pour corriger mes effet de zele avec l'espoir de mettre un peu plus de plomb dans ma cervelle. Le repoussant vigoureusement, ma voix était écraser par la sienne.

    Notre petite chamaillerie dura plus d'une heur, le temps qui fallut pour que mon oreille devienne rouge comme le sang. Je souffrait de cet affreuse situation qui m’obligeaient à paraître aimable. On fini par trouver un terrain d'entente dans un éclatement de rire. Ce genre d'ambiance assez étrange était plus qu'agréable. Je n'avais pas tellement cette habitue, normalement chez moi on finissait dans un lit chaud et avec des draps. Les rires me firent mal au cote. Je n'en pouvait plus après un bon moment et je m'écroulais à bout de souffle sur la chaises en le regardant fixement. Il était beau malgré sa mine du matin. Ses cheveux en bataille lui donnait un air de rebelle, le genre à ne jamais ce plier au règle des autres. Tout à fait mon genre en faite, enfin avec la peau un peu plus bronze j'en ferais mon quatre heurs. Il me servie mon petit déjeuné comme un vrai petit roi. Des gâteau, du lait, du chocolat, j'avais vraiment de la chance d'être tomber sur un être aussi agréable. Rougissant, je pouvais pas empêcher mon regard lubrique de le fixait.

    Au final, je continuais de faire comme je le voulais. De faire mon gamin pervers envers un pauvre homme. Il ne savait pas encore le genre de créature qu'il venait volonté d'héberger. Avec un fin sourire, ma matinée se conclues par un bon déjeuné autours d'une petite table avec mon hôte. En quatre heurs, on c'était un peu rapprocher. Dans notre discutions, j'appris qu'il était un célèbre écrivain dont deux de mes films préféré s'inspirait de ses romans. De plus, il faisait aussi partie d'une riche maison dont les parents possédé toutes les chaînes de télévisons et quelques multinational. C'était un enfant qu'on pouvait dire simple malgré tout c'est avantage. Ce n'étais pas du tout comme moi qui profité de mes avantages de manière à passer pour un véritable gosse de riche. J'attrapais une mèche de mes cheveux que je fis tournée autours de mon index. Rigolant, je baillais encore fatiguer par ma mauvaise nuit. Il se montrait grâce à ça très doux, et me fit milles et une choses agréable. Enfin, rien de véritablement sexuel, juste un très bon bain et un repas chaud. Il me fit découvrir aussi la ville dans le début de l'après midi.

    ''Tu m'a emmener au cinéma, au parc, tu veux quoi en échange ?!''

    ''De quoi tu parle ? C'est pas toi qui rechercher un petit boulot ce matin''

    Souriant maladroitement, mon esprit avait rapidement effacer ce détail. Si bien que je fis semblant d'asquiécer. Un métier ? Je venais à peine de rencontrait un parfait inconnue et je devais maintenant me trouver un petit boulot. Réfléchissant, je n'avais absolument aucune qualification dans ce domaine. Ma vie se résumé à dépendre de l'autre idiot et d'utiliser mes pouvoirs pour mon propre plaisir. Soupirant, mon cerveau commençais à bouillir. Surchauffant, j'allais finir par griller toute mes possibilité d'idée et mes derniers neurones. On s'arrêta devant une maison d'édition, il m'informer que son dernier manuscrit devait être rendu avant ce soir dix huit heur. Me prenant comme un enfant, il m'emmenait dans sa soit disant seconde maison. Là j'y rencontrais une étrange personne. Il était grand et bien baraquer. C'est homme avait de magnifique cheveux blond platine. Sa peau contracter avec tout ce qu'il pouvait porter de claire. Je l'admirais un moment avant de passer mon chemin pour suivre mon humain.

    ''Le regarde pas comme ça, cet idiot n'est qu'un représentant du commerce et ménager''

    ''Désolé...''

    Il semblait étrangement froid à cette remarque. Je soupirais et continuais de lui suivre, on passait devant des tas de bureau aussi impressionnant que mystérieux. A vrai dire, je fu rapidement remarquer pour poser des tas de question et ralentir le ''sensei'. En courant dans tout les endroit possible, je finis par me reprendre l'étranger dans la tête. Je ne l'avais pas remarquer. Ma tête se pris en plein dans son torse. Comme quoi, je rencontrais les gens de manière assez étrange. Je devais toujours me prendre quelqu'un avant de faire sa connaissance...


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