L'amour ne se commende pas, il trouve deux personne contraire ou imposé et les assembles pour le meilleurs ou pour le pire. Dans des milieux diffèrent comme pour Roméo ou Juliette, ou semblable comme un lycée d'étudiant. Personne ne choisie et pourtant on est obligeait de suivre un tracé qui semble ne pas nous appartenir, pourtant se sont les bas de notre amant/amante qui se dessine a nos coté. On se sent rassuré, en sécurité et prés à vivre n'importe quel expérience tant qu'on n'est dans ses bras pour se protéger sans jamais flanché même près a supporter la fin du monde dans ses bras. Une chose qu'avais bien du mal à comprendre un jeune homme vivant chez une de ses subordonnais comme un parasite., préfèrent la joie des moquerie sadique à admirait les autres chercher désespérant se bonheur si fragile. Dans son appartement tout confort, le monde auquel il était relié semblait bien petit en vus de son immense bais vitré prenant à elle seul les deux étages de l'appartement. Admirent la vus sur un quartier animé, vivre parmi les grand ciel lui donnait l'impression d'être hors champ des Hommes, d'être le maître d'un puissant jeu dont lui seul pouvait tenir les règnes.

A part les éxcaliés cacher dans le font de la pièce et  deux canapé se fessant face en encadrant une petite table basse. Son bureau majestueux en vieux chêne s’imposait en masse dans la pièce. C'était son lieu de culte, son observatoire dans un sens, un monde protéger.
Son corps élancé sur sa finie silhouette qui désembué comme un serpent venimeux s’asseye sur son fauteuil comme une lourde enclume venant de touché le font, les cheveux en arrière, son visage admiré le haut plafond qui le nager. Sa logeuse était sortir tôt le matin, partant rejoindre ses misérables insecte dans les rue. L'ennuie pesant se fessait sentir en s’abattant sur l'appartement silencieusement morbide. Tournant sur sa chaise d'un air magnanime, rester sur le jeu du chat et de la sourit ne lui apportais pas plus de joie. Seul son téléphone continuais de sonné dans un rythme affolant. Regardant l'écran en souriant ses cheveux de jais repassais sur son visage à la peau de neige, posant sa lourde tête sur ses bras qui lui servait de refuge.

Ouvrant son téléphone pour savoir qui osais le déranger encore. Un image apparaisses sur l'écran, une photo plus exactement d'un homme habiller en kimono possédante des yeux aussi bleu que la mer circassienne, se fessant sauté dessus par un garçon aux cheveux noir et au yeux rose comme les bonbons. Tout deux se tenait comme des objets précieux semblant s'aime au doux regard qui se lancèrent. Soupirant il tourna son appareille dans les airs avant de le faire s’abattre lourdement sur le coté du bureau. Relevât la tête d'un air désespéré, l'homme ne put qu'afficher un grand sourire béat en laissant échappé un léger rire aux aigus infernaux. Ses yeux rouges se relevaient sur l'écran de son ordinateur. Pliant les yeux comme un vieille homme ridée, en poussant son corps en arrière pour tournée et retournée avec son fauteuil, les bras en l'air en riant comme un gamin sur les montagnes russes. Posant ses points sur la table plusieurs fois en continuant son rire hypocrite, relevant ses yeux sur la porte d'entré refusant de souffrir, c'était le corps lourd qu'il s’arrêtait de tourné et se relevais agilement comme un chat pour s'approchait de son entré. Rouvrant la porte dans un fracas assourdissant, il voyait la personne qu'il attendait depuis si longtemps se dresser droit comme un pique devant ses yeux...