• Je ne sais pas

    La relation entre deux hommes ne peut pas être une véritable relation. Ca ne durent pas, ça ne marche pas. L'un ou l'autre finis par ce détournée et retrouver les bras d'une femme. Alors non merci, je préfère vivre éternellement seul. Là au moins, je ne souffrirais plus à cause des autres. Ma seule douleurs je la devrais à moi-même. Sans personne près de moi, je serait protégé. Je sacrifiais des futiles moments de bonheurs pour la peine éternel. Cette douleur au moins ne serait jamais aussi douloureuse que celle qu'on ressent après avoir goûté au bonheur. Faire confiance au autre et bien au dessus de mes forces. J'ai peur de moi même, je ne me connais pas quand je suis en face des autres. Être ce que je suis reviens à me faire haïr par vos ordre, vos règles et vos cadre.

     

    Même quand la lumière semble perçait dans mon monde de ténèbres. Je ne veux pas la voir. Mes yeux se détourne vers la pénombre des enfers. Je me sens déchiré à devoir choisir entre un monde blanc ou un monde noir. La vois de la raison me dit de me contenté de ce que j'ai. Comme ça je peux toujours espéré et rêvé sans être déçut. Pardon, pardon maman de ne pas de te donner de petit enfant que tu souhaité tant. Je peux pas te donner le bonheur de me voir à coté d'une bonne épouse et bambin charment. Pardon Papa de ne pas être le fils dont tu pouvais être fier. J'aime les hommes, et même si je te décrocher la lune, tu ne verrais en moi que l'erreur de la nature. J’entends au loin vos paroles pour me dire de changer, de renoncer. Mais ne vous en faite pas, je ne renoncerais pas à ma peine même pour vous.

     

    Ne croyais pas que je suis un masochiste. Je ne suis que le chemin de la raison qui applique cruellement sa logique. Pourquoi espéré un amour sincère ? Pourquoi espéré vivre une vie dans le bonheur ? Je me sentirais que trop mal quand tout cela me sera arracher. Pourquoi apprendre ? Pourquoi apprendre à vivre ? Si c'est pour suivre la fatalité de mourir. Laissait moi choir dans le fond de l'obscurité. Enchaîné au regret et au rêve que je n'ose même plus imaginé. Je garde seulement au fond de mon cœur, les souvenirs. Mon passé heureux dans les jardins d'enfant. Mes parents qui souriait en pensant à mon avenir. Quand est-ce que ma vie à dévier ? Quand est-ce que j'ai arrêté de te prendre pour un simple amis ? Comme est-je réussi à t'approcher, à te séduire, à me jouer de toute ses filles qui t'entourais ?

     

    Sur les draps, je me souviens de notre désire communs. Pourtant maintenant, je me demande si je ne l'ai pas imaginer. Allonger dans ses draps blanc pour y pleuré toute les larmes de ma peine. Mon visage cachais dans un oreiller de soi pour y regretté mes heurs perdus. La chaleur de ta peau m'abandonnaient en apportant avec elle une pièce de mon cœur. Je l'ai sentis ce mécanisme complexe se briser au moment où la porte claqua. Les pièces tordu de mon amour s’échapper pour s’échouer sur les décombres d'un désirs. Le soi-disant bonheur n'est qu'une illusion pour nous faire comprendre l'horreur de notre véritable condition. Un sourire sur les lèvres et dans mon sac un paquet de souvenir. Je ne dois rien montré, rien dire, rien pensés, simplement montré que tout vas bien. Personne ne comprend, est-ce vrai ? Ou est-ce moi qui ne leurs parles pas ? Comme ça je peux les accusés de m'abandonnai. Mais si j'osais...

     

    Le feu brûle et je mettais déjà briser une aile en ayant espéré le toucher. Je tiens à l'autre qui vole à peine pour me transporté. Je n'irais peut-être pas loin, mais ça serait toujours mieux que de la perdre. Si je suis une statue de glace refroidissant les plus ardent des feu puis-je espéré trouver le bonheur ? Un jour, j’espérai te retrouver mais ne ce serait trop tard. J'aurais gâcher ma vie pour une ancienne blessure. La lâcheté était la seul valeur suivre pour espéré survivre dans le présent. Car même aujourd'hui je saigne encore, je sens le sang croupir et m’engloutir complètement...

    L'Amour avec un grand A n'existe pas, seul la douleur de l'absent existe vraiment quand nous n'avons plus rien … même plus nos propre souvenir...

     

    Je préfère vivre seul dans un monde monochrome avec une simple lueur au dessus de mon visage pour me rappeler...


  • Commentaires

    1
    Samedi 27 Décembre 2014 à 23:39

    Chiaki-sama arrive encore avec quelque chose de plus accrochant! J'aime énormément, je trouve que l'on est transporté par une vague de sentiments, je n'ai aucun reproche à donner... Sublime!  Ce personnage à une bonne vision du monde je compati! >.>... Très poétique en faite... J'admire!

    pfff... *soupir* Va falloir encore attendre pour du nouveau... T^T ... Mais ça vaux le coups! >w<  Bonne Continuation! ^^ Tu fais du beau travail! 

    2
    Dimanche 28 Décembre 2014 à 09:11

    Ma petite InoueAlice (je te jure que si on pouvait passez des cookies via l'ordi, je t'en aurais passer un, tu le mérite) x)

    Non, cette fois tu devrais pas attendre longtemps xD 

    3
    Dimanche 28 Décembre 2014 à 16:21

    (Heureusement que c'est pas possible, je n'aime pas les cookies xD ) 

    (/^w^)/ wouiiiii! youpppi! *yeux qui brillent* xD

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